Seresys Alenn

Nom : Alenn
Prénom : Seresialys Juliana, surnommée Seresys. (C'plus pratique quand même)
Age : 17 ans
Race : Humaine - Enfant de Myrrha


Description physique : Inoffensive. C'est le premier mot qui viendrait à l'esprit pour qualifier l'allure frêle de Seresialys. Menue, presque maigre et plutôt petite pour son âge, elle apparaît comme fort gracile, voire fragile. On pourrait facilement la prendre pour une jeune fille chétive, et ce côté est appuyé par la blancheur de sa peau laiteuse, contrastant fortement avec ses longs cheveux châtains, qu’elle affectionne à laisser libre , la plupart du temps, bien qu’il lui arrive de les relever en un chignon simple.
Elle a la voix chantante et la démarche légère.

Pourtant, le sourire tendre fleurissant de façon permanente sur ses lèvres pleines, couleur de pêche, suffit à éclairer tout son visage, équilibrant sa silhouette maladive par une aura de joie de vivre, conféré par ses moues rieuses.
De forme douce, rehaussé par de délicates pommettes rosées, son minois est empreint d’une certaine candeur, d’une telle ingénuité qu’elle en est attendrissante. Bordés de longs cils noirs, ses yeux ont la couleur du jade, tirant parfois sur l’émeraude.
Sa frimousse est souvent à demi dissimulée par ses longs cheveux châtains, qu’elle affectionne à laisser libre la plupart du temps, bien qu’il lui arrive de les relever en un chignon simple.

Son style vestimentaire n’est pas réellement défini. Elle affectionne les couleurs vive dans certaines occasions, tandis qu’elle leur préférera des tons pastels, ou même sombres, dans d’autres.
Afin de satisfaire à son visage angélique, elle préfère, à la praticité des pantalons, la féminité des jupons et divers drapés. On peut noter une excentricité de sa part, celle de fleurir son corsage par quelques Oxalis blanches, la plupart du temps.



Description mentale : Si son physique pourrait annoncer une jeune fille calme et disciplinée, en réalité Seresialys a tendance à avoir un caractère extraverti, presque exubérant. Ne tenant jamais en place, elle déborde littéralement d’énergie et ne peut jamais rester trop longtemps inactive. Pleine de bonne volonté, honnête, elle est de nature généreuse et proposera volontiers son aide à quiconque en aura besoin. Cependant, on la suscite rarement, notamment à cause de sa maladresse. Elle a une légère tendance à faire confiance peut être un peu trop facilement, sûrement parce que, de part sa nature d’enfant de Myrrha, on l’a trop souvent rejetée pour qu’elle fasse la fine bouche quant aux choix de ses fréquentations.

Intelligente, elle possède un certain esprit tactique en combat qui lui permet de pallier la dominance d’un pouvoir face à la faiblesse du sien par un emploi maîtrisé de son contrôle de la terre.

Elle garde l’esprit parfois un peu enfantin d’une jeune fille à qui il arrive de faire quelques frasques car son caractère est naturellement espiègle.

Seresialys Juliana perd cependant beaucoup de son immaturité près de Raphael, qu’elle considère comme un mentor. Elle lui voue, d’ailleurs, une grande admiration et s’est juré de lui rester fidèle en toute circonstance, se sentant redevable de son secours. Dévouée, elle est prête, d’ailleurs, à presque n’importe quoi pour lui.



Histoire : Née dans une famille bourgeoise, les dix premières années de Serasialys n’ont pas réellement quelque chose de notable. A cette époque, elle s’appelait Seresialys Julianna Mayély de Grey. Mayéli, du prénom de sa mère. Elle reçut une bonne éducation et eut accès à bon nombre de connaissances, faisant d’elle une fillette vive, instruite et curieuse du monde. C’était une enfant facile, quoique parfois maladive, ceci limitant considérablement ses rapports sociaux avec d’autres enfants de son âge.
Cela ne la dérangeait nullement, elle préférait, à leur compagnie, la proximité avec les jardins que ses parents faisaient entretenir pour elle. Il faut le dire, elle était quelque peu gâtée, surprotégée et choyée : ses parents comblait sa petite santé par des présents, puisqu’elle était leur unique enfant. Curieusement, les jardins s’épanouissaient même lorsque la saison n’y était plus, après le passage de la fillette.

Cela aurait pu durer longtemps et elle aurait pu mener une vie tout à fait normale, mais le destin en décida autrement. En effet, l’hiver précédent sa onzième année était rude, si bien que les jardins du domaine de Grey étaient entièrement recouverts par le gel et la neige, et la santé de la fillette s’en trouvait, on ne sait comment, fortement altérée. Les guérisseurs ne donnaient plus longtemps à l’héritière de Grey et ses parents, déjà à demi en deuil, se décidèrent à la mener une dernière fois auprès des jardins qu’elle affectionnait tant. Se produisit alors un curieux phénomène. Là où la fillette passait, des branches feuillues pointaient hors de neige et fleurissaient à sa hauteur. A mesure que le phénomène avançait, la fillette recouvrait ses couleurs. On compris alors qu’elle était une enfant de Myrrha.

Malheureusement pour elle, les enfants de Myrrha était très mal tolérés là où elle vivait. Par conséquent, presqu’aussitôt, ses parents la renièrent, la considérant soudainement comme une abomination et elle se mit à errer seule. Elle échappa de peu à la mort, une nouvelle fois, car, à chaque ville où elle passait, elle était chassée, traquée, sans raison, car les rumeurs la précédait, où l’on disait qu’une enfant de Myrrha vagabondait dans la région.

Dans son malheur, la chance lui sourit pourtant et elle fut recueilli dans une vieille bâtisse, légèrement en recul d’une ville où les enfants de Myrrha était juste tolérés. Quelques uns de ses semblables y étaient présents et sûrement avaient-ils connus le même sort qu’elle. Elle se rapprocha un peu plus de ces derniers. Il semblait que tout ces enfants était voués à être utiliser comme arme et que ceux qui les recueillaient étaient plus motivés par l’ambition que par une quelconque vocation humanitaire. Ils restaient cependant bien traités.
Cinq années passèrent. Seresialys devint une jeune fille charmante en tout point. Sa vie avait retrouvé une relative stabilité et elle avait changé son nom. De par sa rancune envers ses parents, elle avait abandonné leur nom et prit à la place celui de la ville où on l’avait recueilli et elle avait délaissé le prénom de sa mère. Elle devint donc Seresialys Juliana Alenn.

Par un nouveau coup du sort, le fragile équilibre de la vie de la jeune fille s’en trouva encore perturbé. De vifs opposants aux enfants de Myrrha eurent vent des projets dissimulés dans la ville d’Alenn, ce qui donna lieu à une vaste tuerie sanglante… Tout fut détruit par le feu, supprimant de nombreuses vies, sans faire la distinction avec quelqu’un doté de dons ou non. Et sûrement Seresialys aurait dû périr avec eux.

C’était sans compter sur Raphael qui repoussa son passage de l’autre côté en la secourant. Depuis ce jour, il y a de cela un an, elle ne quitte pas d’une semelle son protecteur.



Test RP :

« Ton nom ? Tu te souviens de ton nom ? Tu as mal ?»

Son nom ? Seresys, on l’appelait toujours comme ça, avant. Avant quoi d’ailleurs ? Et puis où était-elle ? Et qui lui parlait ? Elle se sentait allongée sur quelque chose de doux et confortable. Un lit? Ses yeux s’entrouvrirent et l’éblouissante lumière qui envahit son champs de vision l’aveugla aussitôt. Elle eut juste le temps d’apercevoir un étonnant jeune homme aux cheveux verts. Il était plutôt beau garçon d'ailleurs. Elle chassa cette remarque de sa tête pour faire place à d'autres, plus nécessaires. Était-ce celui qui l’avait sauvé ? Elle était pourtant persuadée de se souvenir d’un jeune homme brun.
La tête lui tournait et une atroce douleur se fit ressentir dans la majorité de ses membres. Elle lâcha un petit gémissement en guise de réponse, même si elle aurait aimé dire plus. Sa gorge la brûlait, et elle avait l’impression d’un goût de fumée dans la bouche. Que s’était-il passé ? La mémoire lui revint peu à peu.




Courir.

Elle les entendait derrière elle, ces fous, ces sauvages, la course de leur chevaux, leur sabots martelant le sol recouvert de cendres.

Courir plus vite.

La fumée lui brouillait la vue, elle ne voyait pas où elle avançait, et cela lui importait peu, elle courrait droit devant elle, au hasard, cherchant un asile, un abri qui n’aurait pas été la proie des flammes.

Plus vite.

Elle atteignit le brasier qui consumait les anciens bâtiments constituant ce qui avait été son foyer durant cinq années. Quelle idée avait-elle eu de croire qu’elle aurait pu les semer parmi les maisons en flamme ? Ils étaient entrainés à ça après tout, c’était ce pour quoi ils vivaient. Tuer les enfants de Myrrha. La tuer, elle.

Tout volait en cendre, elle arrêta sa course nette, les mains sur les genoux. Son cœur battait bien trop fort, l’afflux de sang à ses tempes était douloureux et sa respiration se faisait sifflante. Elle le savait bien, pourtant, qu’elle n’avait jamais été une grande sportive. La course l’avait toujours épuisé si facilement. Elle se redressa et fit face aux trois hommes qui l’avaient pris en chasse. Son regard, si doux en temps normal, avait pris une teinte haineuse, ses lèvres tremblaient, autant par la douleur que par la colère et elle ferma les yeux. On allait l’achever, comme les autres, comme une paria, comme si elle était une meurtrière.
C’était plus qu’elle ne pouvait supporter, tout ceux qu’elle avait pu considérer comme sa famille spirituelle, les quelques amis qu’elle avait pu se faire avait été massacré par eux, par leur fautes, par leurs idées sans sens. Elle était une enfant de Myrrha. Elle avait été choisie par la déesse, elle ne pouvait subir les bras croisés l’insulte que l’on faisait à Myrrha en l’assassinant de sang froid, sans raison valable.
Peu à peu, ronces et simili-lierres sortirent de terre, se réunissant en troncs plus massifs, progressant rapidement vers ses poursuivants. Un sourire malsain se dessinait sur les lèvres de la jeune fille tandis qu’une panique certaine gagnait ceux qui lui faisaient face. Les chevaux sur lesquels ils étaient montés s’affolèrent et ils eurent grand peine à les maîtriser.

Les végétaux commençaient à enserrer leurs membres et, soudainement, s'arrêtèrent. Que faisait-elle ? Elle n’allait pas tuer ces hommes tout de même ? C’était contraire à ses principes.
Une moue écœurée passa sur son visage et elle se recula, en proie à une nausée, tandis que les larmes lui montaient aux yeux. Aussitôt, les plantes se retirèrent, fanèrent et tombèrent en poussière. Et elle fuit. Elle n’aurait jamais du sortir des bâtiments, et se sauver comme elle l’avait fait. Un coup de folie la poussa à recouvrer l’entrée d’une maisonnée, dans laquelle elle s’engouffra, récoltant au passage quelques brulures, en voyant ses poursuivants reprendre leur traque, même après leur frayeur.

Le danger du brasier sembla les dissuader de la suivre, car elle demeura seule dans la maison en flamme, et en quelques secondes, elle se retrouva bloquée par les poutres chutant du plafond. Quelle bêtise l’avait prise là ? Les issues étaient obstruées, et, rapidement, l’air devint irrespirable, elle toussa, cracha plusieurs fois, et la dernière chose qu’elle sentit fut le choc de sa tête heurtant le sol chaud d’un ancien salon.

Et puis le néant.

Une brise fraîche sur sa peau, un air pur gonflant ses poumons.
Elle toussa à nouveau. Des bras la tenait fermement contre un torse masculin, elle releva la tête en ouvrant les yeux. Il faisait nuit mais elle put distinguer le visage d’un jeune homme brun, qui lui adressa un sourire.

Le néant, à nouveau.

Et puis une voix.
« Ton nom ? Tu te souviens de ton nom ? Tu as mal ?»




[validé par Alice].... Kamoulox?
Double-compte ? Si non, comment avez-vous connu le forum ? Pas de double compte, et je me suis fait enrôler de force. ='(
Des questions ? Quand est ce qu'on mange?
Une petite suggestion pour améliorer le forum ? Je sais pas, mais quand est ce qu'on mange?

Bon bah déjà bienvenue:

...

Vous vous attendiez à quoi la, des remarques, des critiques et autres reproches? Mais vous voulez que je dise quoi elle est nickel sa fiche même meilleure que la mienne. Après pour l'orthographe je sais pas c'est loin d'être mon fort et en plus suis pas trop réveillée là *a pas encore pris son ptit dej'* la seule chose que je pourrais encore reproché c'est dans le mental une ligne où t'as parlé du contrôle de l'air (mais ça ça date d'avant l'histoire avec Nimaën).

En gros on attends Nimaën pour te valider (limite plus par formalité qu'autre chose sur ce coup là) et pis je sais pas quand est-ce que t'iras manger mais moi j'y vais maintenant.

Eh bien eh bien... Tu as commis une erreur impardonnable !!! Celle... de faire une meilleure fiche que la mienne ! Nan je déconne, c'est pas une erreur. Voici une fiche presque parfaite. Les fautes sont minimes et très rares, tout est bien agencé, les descriptions sont détaillées et précises, les parties sont aérées, on ne se perd pas quand on lit... Bref, je te valide avec mes compliments, en sachant bien sûr que tu ferais mieux de te préparer à ce que je te fasses payer cet affront demain.